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[html]<table bgcolor="#808080"><tr><td align="center" width="50%"><form action="https://www.mercedes-anciennes.fr/forummb/visualisation.php" method="post" target="_blank"><input type='hidden' name='source' value="tourauto56"><input type='hidden' name='lar' value='1024'><input type='hidden' name='hau' value='1280'><img src='http://i87.servimg.com/u/f87/11/37/54/76/image035.jpg'/><br><br>
<input type="submit" value="voir le document : Englebert Magazine/novembre-décembre1956"></form></td></tr></table>
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Si Liège-Rome-Liège a été dénommé "Le Marathon de la Route", le Tour de France Auto en est le décathlon. Neuf épreuves de vitesse, (dont six en circuit),
pour un total de 635 km. La dixième constituant les liaisons entre les différents circuits. 5 400 km en trois étapes.
Moss, Behra, Trintignan, Rosier, Frère, Gendebien : les meilleurs coureurs du moment on pris place sur la grille de départ.
Moss, favori au début de la course, sera vite à la peine au volant de sa 300SL dont il n'arrive pas à tirer tout la puissance.
C'est Alfonso De Portago qui remportera l'épreuve à bord de sa Ferrari 250 (swb ?) chaussée de pneus ... Englebert, évidemment !
Vivez la montée du Ventoux en 300SL, passez les Cevennes, escaladez le col de Peyresourde, fatiguez vous dans les cols géants des Alpes,
plongez dans ce palpitant récit de jacques ICKX !
200 T 1982
280 CE 1981
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Bien intéressant de lire ce compte-rendu du Tour de France 1956, surtout sous la plume du remarquable journaliste qu'était Jacques Ickx. Comparez avec les magazines actuels...
La Ferrari de Portago-Nelson était une 250 GT Scaglietti châssis long, nommée berlinette compétition, dont la carrière dura de 1955 à 1959 avec carrosserie évoluant dans le temps, mais toujours l'empattement de 2,60 m. Avec en 1957, celle qu'on appelât "Tour de France" à la suite de ses victoires dans cette épreuve.
La berlinette châssis court (2,40 m.) apparut au Salon de Paris 1959 en deux versions : compétition caisse alu et Lusso acier. Le type même de la berlinette courant toutes les épreuves hormis les rallyes africains...
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OUI ... bien intéressante cette année 56 . . .
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OUI ... bien intéressante cette année 56 . . .
Pfff ! Mais oui, tu es encore jeune !
Merci pour ces précisions Huhu. Quelle merveilleuse voiture cette 250 !
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce texte. On y vit vraiment la course, étape par étape. En une simple phrase on imagine bien les 300SL dans le Ventoux.
Jacque Ickx avait il un lien de parenté avec Jacky ?
200 T 1982
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Oui, Jacques Ickx était le père de Pascal et Jacky. Un des rares chroniqueurs automobiles de l'après-guerre, il écrivit en 1961 le remarquable « Ainsi naquit lautomobile » publié chez Edita Lausanne.
Jacques Ickx, équipier de Willy Mairesse au Liège-Rome-Liège 1957 (n° de course 70 - abandon) :
Les 300 SL privées voyaient souvent disparaitre leur étoile de calandre : c'est lourd, cher et cela risque de gêner le refroidissement. On voit bien ici les phares ajoutés, à l'extérieur du radiateur.
Mais les voitures engagées par l'usine se gardaient bien d'ôter ce qui se voyaient si bien sur les photos du monde entier !
Dernière modification par Huhu (10-05-2009 13:44:45)
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Jacques Ickx, équipier de Willy Mairesse au Liège-Rome-Liège 1957 (n° de course 70 - abandon) :
Tiens, j'en parle ici :
https://www.mercedes-anciennes.fr/forum … hp?id=1078
Par contre dans l'article on donne le nom de Paul Yckx, avec Mairesse ...
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Un peu tardif...
Je ne connais pas Paul Yckx.
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